La Matinale de la comm avec Mélissa Motino et Driss Boubekeur

La Matinale de la comm avec Mélissa Motino et Driss Boubekeur

La matinale de la communication a fait son retour ce jeudi 9 mars. Durant cette période cruciale pour les étudiants du BTS Communication dans le processus de professionnalisation et de découverte des métiers.

Le lycée Jacques Brel a organisé un évènement durant lequel des intervenants partagent leurs parcours et leurs cœur de métier devant les étudiants.

Au programme « Quels sont les enjeux des médias et comment générer du revenu ? » présenté par Driss Boubekeur (Chief Marketing Officer) et « Les enjeux de la communication publique d’une ville de 4300 habitants » présentée par Mélissa Motino, Responsable de la communication et de la culture de la ville de Survilliers.

En second temps, Mélissa Motino (ancienne étudiante du lycée Jacques Brel promo 2014) a présenté son parcours, ses expériences professionnelles. Son entrée en tant que Responsable communication et culture à la ville de Survilliers a permis de connaître ses missions diverses et variées à la ville de Survilliers à travers le partage de compétences dans le Print comprenant la création d’affiches et de flyers et du digital pour gérer les réseaux sociaux et le site internet mais aussi de la rédaction des dossiers de presse et des communiqués.

Un focus sur la mise en œuvre d’événements et sur la gestion administrative et financière de la mairie à travers l’élaboration et le contrôle de l’exécution du budget.

« Personnellement, cette matinée a été enrichissante car elle m’a permis de m’ouvrir les yeux sur mon positionnement professionnel mais aussi de pouvoir observer les tendances des médias sur les réseaux sociaux », précise Sara (étudiante bts comm).

« Connaître le futur c’est l’inventer », voilà sur quoi Driss a terminé son intervention en l’illustrant par des exemples !

Une phrase qui m’a beaucoup plu et marqué… .       

 Article rédigé par Sara Mellouki (BTS CP2)

 

 

 

Les abeilles sont mortes, vivent les abeilles.

Les abeilles sont mortes, vivent les abeilles.

Nous avons constaté avec quelques élèves la disparition des deux colonies qu’il nous restait. Vendredi 3 février nous sommes montés pour administrer un traitement préventif contre le varroa, un parasite de l’abeille, mais ce traitement est arrivé trop tard. En effet les colonies avaient subi l’attaque de ce parasite et elles ont été alors très affaiblies. Elles sont mortes avec les journées de grand froid que l’on a connues fin janvier.

Le varroa est un parasite qui pond ses œufs dans les alvéoles des abeilles, une fois éclos le varroa va se nourrir de la lymphe (c’est un liquide qui circule dans les abeilles) et donc empêcher l’abeille de se développer normalement et à court terme les tuer. Notre rucher ayant subi une attaque de varroa, les abeilles étaient trop peu nombreuses pour réchauffer la ruche et se sont fatiguées prématurément et une partie d’entre elles est morte, ce qui a eu pour effet de diminuer encore plus la température de la ruche et donc de les tuer toutes.

Après cette triste constatation, et après beaucoup de pein, nous avons repris les choses en main. Le rucher est en cours de nettoyage, les anciennes ruches ont été enlevées, les cadres triés pour ne garder que ceux qui pourront nous resservir dans le futur. Nous avons aussi commandé deux essaims à la société ApiHappy que nous recevrons le samedi premier avril au matin. A cette occasion nous proposons aux volontaires, les places sont limitées, de venir voir la mise en place des ruches sur la terrasse en face de la salle 203. Les élèves investis dans le club apiculture sont évidemment prioritaires mais il y aura de la place pour d’autres personnes qui s’intéresseraient ou juste seraient curieuses de ce moment rare dans la vie du rucher.

Pour information la race d’abeille choisie est la Buckfast ce sont des abeilles adaptées au climat de notre région, d’un caractère doux et calme. Elle s’adaptera, je l’espère, au mieux dans nos murs.

​Soutenez notre voyage à Berlin en achetant des chocolats !

​Soutenez notre voyage à Berlin en achetant des chocolats !

La VENTE DE CHOCOLATS continue !!!!
Grâce à vos achats, vous soutenez notre voyage à Berlin. Alors n’hésitez pas et faites-en profiter votre famille, vos amis, vos voisins et même vos collègues ! Commandez sur notre boutique en ligne https://asso.initiatives.fr/c2/TNYELV  grâce au code : TNYELV La date limite pour passer commande est le : mardi 04 avril ​avec une livraison directement chez vous. ​ Un grand merci à vous pour votre soutien !
Critiques du film « Piranhas »

Critiques du film « Piranhas »

Critiques du film « Piranhas », écrites par des élèves italianistes de seconde

L’ascension d’un groupe de jeunes ados dans la criminalité organisée de Naples, c’est ce que Claudio Giovannesi souligne dans son film dramatique « Piranhas » ou « La paranza dei bambini » (en italien). Ce film italien de 2019 s’inspire d’un livre du même titre du célèbre journaliste, Roberto Saviano, condamné à mort et recherché par la puissante mafia  napolitaine, appelée “Camorra”. Il vit caché et protégé par la police. Ce film a gagné des prix tels que le Berlinale 2019 : Ours d’Argent du meilleur scénario, le festival international du film policier et Noir Festival 2019. Les acteurs principaux ont été recrutés dans les quartiers pauvres de Naples, ce qui accentue le côté authentique du film.

 L’histoire se déroule dans les quartiers défavorisés de Naples contrôlés par la Camorra. Les protagonistes sont Nicola et ses amis, un groupe d’adolescents à la recherche d’argent, de pouvoir et de reconnaissance. Au fur et à mesure qu’ils gravissent les échelons de la criminalité organisée, ils apprennent très vite la cruauté et la dangerosité du métier. C’est aussi l’histoire d’amour entre Nicola et Letizia, une charmante jeune fille qui vit dans un quartier ennemi à celui de Nicola.

Le réalisateur montre à travers ses magnifiques plans et en jouant avec la musique, toutes les facettes de ces quartiers, de leurs côtés modestes, lors des scènes plutôt détendues, à leurs côtés hostiles, durant les courses poursuite ou les attaques. Les quartiers sont presque eux-mêmes des personnages. Les moments de danger et de stress se font beaucoup ressentir mais on peut aussi rire à quelques moments. Globalement le film est réussi et arrive à créer l’atmosphère qu’il veut. Cependant il faut garder à l’esprit que la fin du film est ouverte. Cela peut donc nous sembler assez incomplet et peut décevoir certains.

Melkees HIRUTHAYARAJ, 2nde 8

 

Avant les vacances de Noël avec la classe d’italien nous sommes partis voir “Piranhas” dans un cinéma parisien. C’est un film tiré du livre“ La paranza dei bambini” écrit par Roberto Saviano, le célèbre journaliste napolitain qui vit sous protection policière depuis qu’il a été condamné à mort par la mafia pour ses écrits. Le film est sorti au cinéma en 2019 et c’est une fiction dramatique tournée dans les quartiers populaires de Naples. Il a obtenu des récompenses telles que le prix de Beaune, du Festival international de Berlin et du festival international du film policier. Ce qui nous a impressionnées, ce sont les personnages très attachants joués par des acteurs qui ont grandi et qui vivent dans ces quartiers-là. On nous montre des jeunes adolescents grandissant dans les ruelles de Naples. Ces jeunes sont des amis d’enfance qui décident de faire partie de la mafia napolitaine, pour obtenir l’argent, le pouvoir, le respect voire l’admiration des filles. Pour devenir riches et commander dans les quartiers, ils sont prêts à tout même à être tués.

Nous avons particulièrement aimé le personnage de Nicola, le protagoniste. Nicola est confronté à des choix difficiles et doit faire face aux conséquences de ses actions. Le personnage joue un rôle central dans l’intrigue et est souvent présenté comme un anti-héros complexe et indécis qui est à la fois capable de cruauté et de compassion. Ses actes parfois démesurés sont dus à son jeune âge.

On a trouvé ce film intéressant car il évoque des sujets d’actualité dans les quartiers populaires de Naples avec des jeunes.

Ilissa KHETTAL, 2nde 8 & Narimane MERFOU BENMOUSSA, 2nde 2

Ce magnifique dessin a été réalisé par Melkees Hiruthayaraj (2nde 8)