Dans le cadre de la semaine nationale des retraités et des personnes âgées du 02 au 08 octobre 2017 (lancée en 1951), la TST2S, en collaboration avec la Maison Marcel Paul, a participé à diverses actions avec les seniors afin de favoriser la solidarité intergénérationnelle :
visite du site historique Babcock,
ateliers Origami et Chants de l’Amitié,
buffet anti-gaspillage,
visite du musée Curie.
Les élèves se sont surtout distingués par une initiative de choix : l’atelier informatique « Accès aux droits et dématérialisation des services publics ». En effet, parce-que l’on vit dans un monde où tous les fichiers papiers sont amenés à être remplacés par des formats numériques et parce-que tous les individus, notamment les seniors ne maîtrisent pas l’outil informatique, les élèves ont conçu en classe ce projet, à partir de réunions de travail, et animé dans les cours informatique de Bruno, ces séances de découverte.
Créer une adresse-mail, classer des dossiers, estimer ses droits sociaux, créer un compte ameli, télécharger une attestation de droits CNAV sont autant de compétences que les élèves ont pu apprendre à leurs aînés.Semaine inoubliable tant pour les élèves, les seniors et les partenaires ; merci à toutes et tous pour le succès de ces jours d’entraide et de valorisation de chacun !
Afin d’illustrer le chapitre sur « Les principes d’intervention en santé publique », la TST2s a eu le plaisir de découvrir l’équipe Drepacare, composée de 2 des trois fondatrices auto-entrepreneuses de l’application mobile Drepacare, qui porte sur la prévention et l’information de la drépanocytose: Anouchka KPONOU (ingénieur biotechnologie spécialité nutrition), Laetitia DEFOI (infirmière et ex-bachelière ST2S), Meryem AIT ZERBANE (pharmacienne) et toutes titulaires d’un master 2 en santé publique.
Cette rencontre, ayant eu le lieu 08 novembre 2017, visait la présentation de leur création : l’application Drepacare afin d’accompagner les drépanocytaires dans leur vie quotidienne, faciliter leur suivi, et les informer davantage sur leur maladie, à travers des fonctionnalités simples et ludiques, mais aussi de partager leurs connaissances ainsi transmettre des témoignages, comme celui Laetitia en tant que patient expert de la drépanocytose.
Parce qu’il est possible de réduire les conséquences d’une pathologie, même quand elle est peu connue du public et que la maladie ne doit constituer un frein à une scolarité épanouie, merci pour cette initiative innovante et riche en échanges !
Dans le cadre de la découverte du rôle de prévention qu’assure la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de la Seine-Saint-Denis, les élèves de la TST2S ont assisté, mardi 26 septembre 2017 à la Cité de la Santé de la Villette, à un atelier « Santé Jeunes » (accès aux droits, accès aux soins ») animé par Mme TISSIER, responsable prévention en santé. A travers le jeu « Service-Poursuite », les élèves ont pu, notamment, approfondir leurs connaissances pour trouver les lieux où s’adresser pour se soigner ou éviter les maladies et connaître les fonctionnalités du site Ameli.fr de santé gratuit. Parce-que la santé est à la fois une affaire individuelle et collective, elle est à préserver et ce, dès le plus jeune âge !
En cette semaine de la communication qui a eu lieu du lundi 19 au lundi 26 mars 2018, les étudiants ont eu le plaisir de travailler pour le planning familial. Le planning familial est une association militante, féministe et d’éducation populaire créée en 1956, qui milite pour le droit à l’éducation, à la sexualité, à l’égalité entre les femmes et les hommes. Elle lutte contre les discriminations et violences sexistes et sexuelles. Son but est de permettre à toutes et tous de vivre une sexualité libre et sans contrainte.
Dans le cadre de la semaine de la communication, les étudiants ont dû répondre à la problématique posée par l’annonceur : Comment remplacer l’image institutionnelle du planning familial par une image plus militante, tout en donnant envie aux jeunes de s’impliquer à leurs côtés ?
Les étudiants ont dû y répondre sous certaines conditions : respecter la charte graphique, opter pour des supports et langages inclusifs, toucher la cible des 15-30 ans vivants en France, en particularité les femmes et les minorités. Le budget à respecter était de 20 000€ TTC. Chaque groupe devait atteindre les objectifs visés par le planning familial, qui sont les suivants : renforcer le positionnement du planning comme association militante et féministe, augmenter sa notoriété tout en développant son capital sympathie, améliorer la connaissance du public cible sur ses missions et donner envie au plus grand nombre de les soutenir.
Qu’en ont pensé les étudiants ?
Selon Schiphra Nsona en BTS 1er année, assurant la fonction de chef de projet au sein de son groupe, les difficultés étaient de respecter les délais et rédiger le cahier des charges (compte-rendu écrit final).
Mais pour Eva Samba Dinard en deuxième année, responsable commerciale dans son agence, les difficultés ont été de créer une cohésion de groupe et de gérer le budget.
Mais tous s’accordent à dire que cette semaine a été riche et bénéfique à chacun, par exemple Sabera Mahmood en première année passerelle exerçant la fonction de créatif au sein de son groupe nous dit que cette semaine a été l’occasion pour elle de vivre une situation réelle et de pouvoir se familiariser avec le travail d’équipe.
Pour Jephté Durteteen, première année ayant le rôle de commercial au sein de son groupe, cette semaine a été l’occasion pour lui de pouvoir mettre en application ses connaissances et de mieux comprendre la partie théorique de ses cours.
Niamé Bathily en première année passerelle, chargée de veille dans son groupe a appris à mieux aborder un projet de communication et à renforcer ses connaissances stratégiques.
Tandis que Linda Benzerouk en deuxième année passerelle du pôle créatif de son agence fictive nous dit que cela a été un vrai challenge pour elle de devoir s’approprier une demande, mais elle a également pu se sentir comme dans une véritable agence de communication.
Malgré les difficultés rencontrées, tous les groupes s’en sont sortis haut la main et c’est avec un grand enthousiasme que les étudiants sont prêts à revivre une nouvelle semaine de la communication l’année prochaine.
Voici un petit mot des gagnants :
Margaux en deuxième année : « Nous sommes relativement satisfaits de nous, surtout que cela a été bien intense, mais nous avons tous très bien travaillé, avec une superbe cohésion d’équipe et un bon coach… Cette semaine nous a permis de guider les élèves de première année et les passerelles qui viennent d’intégrer la formation. Nous avons aussi fait de belle rencontres ».
Sarah en première année : « Cette semaine nous a permis d’apprendre et d’obtenir des conseils des deuxième année »
Mercredi 7 mars, le service jeunesse de La Courneuve est venu au lycée Jacques Brel pour enregistrer le 3e épisode de sa web émission qui donne la parole aux jeunes.
Après une émission en novembre sur la destruction des tours et barres d’habitation, le thème portait cette fois sur la relation entre éducation et médias.
Des élèves de 2nd1 et 2 ont préparé un reportage sur ce thème avant d’interroger les invités en plateau :
– Nora Hamadi, journaliste à LCP et rédactrice en chef du magazine Fumigène.
– Tonio Life, youtubeur suivi par 300 000 abonnés.
– Matthieu Longate, youtubeur dont la chaîne « Bonjour tristesse » est suivie par 200 000 personnes.
Les médias sont-ils au service de l’éducation ? Comment bien s’informer alors que les medias pullulent ? Comment l’école peut-elle aider à décrypter ce flux constant d’informations ?
Autant de questions posées par les élèves du lycée Jacques Brel à des spécialistes de la question comme Madame Alhomme ou Aude Lancelin.
À cette occasion, le service jeunesse de La Courneuve a aussi formé les élèves aux métiers techniques de la réalisation et certains sont passés derrière la caméra, au son, au maquillage, etc..
La compagnie Rhizome, à travers la présence de l’artiste Chloé Moglia, est venue présenter son spectacle d’acrobaties « Rhizikon » dans l’auditorium du lycée Jacques-Brel.
Le principe : une acrobate dialogue à la craie, accrochée en suspension à un grand tableau d’école.
Dans une salle de classe imaginaire, une artiste se hisse au somment d’un tableau « noir ». Elle glisse, vacille, recherche l’équilibre, s’interroge sur le vertige et le vide, soutenue par des voix-off surprenantes, et s’appuyant sur des traces qu’elle dessine à la craie blanche et anime en direct avec son corps.
Prouesses techniques, réflexion sur la notion de limite, beauté des gestes, voilà ce qu’ont pu admirer plusieurs classes de Seconde le temps d’une représentation !